La « bibliothèque verte », pour quoi faire ?

Publié le par VeilleProBU

" Parce qu’elle est systémique, la crise écologique qui nous touche peut se vivre dans une foultitude de domaines et se suivre au travers de divers prismes et indicateurs : empreinte écologique, stress hydrique, consommation énergétique, biodiversité, etc. L’approche la plus répandue actuellement consiste à se focaliser sur l’empreinte carbone des biens et des services, approche à la fois globale et quantifiable. Les politiques publiques s’organisent donc pour prendre en compte leurs « émissions de gaz à effet de serre » et au-delà « l’empreinte carbone de leur activité »

– les mesurer et travailler à leur diminution draconienne : la Conférence des parties (COP) 21, qui déboucha sur le fameux Accord de Paris, vise ainsi à réduire drastiquement l’empreinte carbone de chaque humain sur terre. Et le Français moyen d’être invité à passer de 10 à 2 tonnes CO2eq (ou équivalent CO2) par an. Pour réussir pareille prouesse, il faudra conjuguer les efforts importants des industries, des politiques publiques et de chaque citoyen. " (Source : bbf.enssib.fr)

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